Quand consulter une gynéco?
Quand consulter? La première consultation a le plus souvent lieu au début de l’activité sexuelle, en vue de la prescription d’une contraception. Puis, le suivi doit perdurer toute la vie, à raison d’au moins une visite par an.
Qui peut faire un suivi gynécologique?
La·le sage-femme est tout à fait apte à assurer le suivi de femmes, à condition que celles-ci soient en bonne santé. Si une pathologie est diagnostiquée, le·la gynécologue-obstétricien·ne devient l’unique spécialiste de santé compétent·e car seul·e spécialiste des pathologies gynécologiques et mammaires.
Est-ce qu’une Sage-femme peut faire un suivi gynécologique?
Si vous êtes en bonne santé, la sage-femme peut réaliser votre suivi gynécologique de prévention. Quel que soit votre âge, vous pouvez aller consulter une sage-femme, que vous ayez eu ou non des enfants.
Pourquoi le gynécologue est un médecin spécialiste des femmes?
Le gynécologue est un médecin spécialiste de la santé des femmes. » On aurait tort de réduire le médecin gynécologue aux organes génitaux féminins internes et externes » souligne le Dr. Pia de Reilhac, gynécologue médicale.
Quel est le rôle du gynécologue?
Quel est le rôle du gynécologue? Le gynécologue est le spécialiste de l’appareil génital féminin, des seins et des affections associées. Il doit être consulté dans le cadre de la prescription d’un mode de contraception, du suivi de la grossesse et de la ménopause.
Pourquoi la consultation chez un gynécologue?
La consultation chez un gynécologue ne comporte pas de risques particuliers pour le patient. C’est de toute façon le rôle du médecin d’exposer de manière claire les modalités, les difficultés éventuelles ou même les dangers associés aux gestes, examens et traitements qu’il aura à pratiquer.
Comment voir un gynécologue en France?
Avant de voir un gynécologue, il est important d’emporter les ordonnances récentes, les résultats de frottis ou d’analyses de sang, les éventuels mammographies ou radiographies effectuées. en France, via le site internet du conseil national de l’Ordre des médecins (4).