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Quel licence pour entrer en Ecole de journalisme?
Il ne faut pas une licence mais un bac +2 pour entrer dans une école de journalisme, voici les formations que vous pouvez faire: Le DUT information /communication, le BTS communication des entreprises, un IEP, une classe préparatoire grande école économique ou littéraire…
Comment intégrer une école de journalisme?
Pour intégrer une école de journalisme, il est aussi conseillé d’avoir une première expérience dans le milieu. Cela peut être un stage dans une rédaction ou la rédaction d’un blog étudiant ! De même, assister aux journées portes ouvertes des écoles est bienvenu.
Pour intégrer une école de journalisme reconnue par la profession, il faut obligatoirement passer par la case concours. De multiples prépas gratuites ou payantes fleurissent, pour entraîner les candidats aux épreuves. L’entrée en école de journalisme exige un entraînement digne d’une compétition sportive de haut niveau.
Quelle est l’admission à l’étude de journalisme?
Généralement, l’entrée en études de journalisme est sélective, excepté pour la licence. Dans tous les cas, il est nécessaire de déposer un dossier de candidature, accompagné d’une lettre de motivation, d’un CV, voire de lettre de recommandation. L’admission s’effectue via Parcoursup pour les bacheliers,…
Comment se former au journalisme?
Il est possible de suivre des formations courtes et professionnalisantes pour entrer rapidement sur le marché du travail, ou des cursus plus longs. En bac+2 journalisme, il existe une voie pour se former au journalisme: le DUT Communication, option Journalisme. Il s’agit d’un diplôme reconnu par l’État qui permet d’obtenir 120 crédits ECTS.
Quels sont les taux de réussite des écoles de journalisme?
«Nous avons d’excellents taux de réussite, entre 60 et 85\%», affirme Rachel Bertout, responsable de la prépa qui note qu’il faut une certaine discipline pour se présenter aux concours des écoles de journalisme. «Quand on suit un cours de gym, si on a un entraîneur et que l’on a un cadre, on réussit mieux que lorsqu’on est seul», compare-t-elle.