Comment remettre un cheval au travail?

Comment remettre un cheval au travail?

Démusclé et peut-être aimaigri(ou bien au contraire, en surpoids!), votre cheval n’est sans doute pas dans un très bon état. Remettre un cheval au travail doit se faire de manière très progressive: pas question de retourner sur les terrains de concours dès la première semaine, ni d’enchaîner les séances intensives !

Quel est le rythme de travail de votre cheval?

Le rythme de travail est à adapter en fonction de votre disponibilité et de l’état général de votre cheval. Néanmoins, il est fortement recommandé de ne faire que des séances courtes dans un premier temps, et de préférence espacées d’une journée de repos.

Quels sont les atouts d’un cheval?

De plus, le cheval bénéficie non seulement d’une excellente préparation buccale (qui lui permet de broyer finement les aliments et de saliver en quantité) mais aussi d’un transit gastrique rapide. Cependant, ces atouts n’empêchent pas totalement les problèmes de fermentations et indigestions.

Quelle est la durée d’une séance de cheval?

Gardez toutefois à l’esprit que la quantité n’est pas un problème en soit,un cheval peut parfaitement travailler 6 à 7 jours par semaine, et ce même pour une reprise. Ce qui est réellement important n’est pas le rythme, mais les séances en elles-mêmes : et notamment leur durée et leur intensité.

Comment prolonger la pension de votre cheval?

Bien sûr, tous vos chevaux ne sont pas obligés d’être dans le même centre équestre. Et vous pouvez changer de centre autant de fois que vous le souhaitez. Vous pourrez prolonger la pension à l’aide du bouton se trouvant à côté de la date de fin de pension sur la fiche de votre cheval.

Comment vérifier avant d’attacher le cheval?

Il faut vérifier avant d’attacher le cheval peut lui imposer. Il faut être attentif à la longueur de la longe. Le pied par dessus la corde et se retrouver bloqué dans cette position inconfortable, on appelle celle-ci « une prise de longe ». Il peut également passer sa tête sous la longe et se trouver dans l’impossibilité de bouger.