Comment le droit Protège-t-il les salariés en cas de rupture du contrat de travail?
2422-4 du Code du Travail stipule que « le salarié a droit au paiement d’une indemnité correspondant à la totalité du préjudice subi au cours de la période écoulée entre son licenciement et sa réintégration, s’il en a formulé la demande dans le délai de deux mois à compter de la notification de la décision ».
Quelle est la rupture du contrat de travail?
En France, qu’elle soit à l’initiative de l’employeur ou du salarié, voire des deux, la rupture du contrat de travail peut prendre de nombreuses formes . Si la démission, le licenciement pour motif personnel ou économique et la rupture conventionnelle sont les plus connus, il existe pourtant d’autres possibilités de mettre fin à un contrat.
Quel est le type de rupture de contrat?
Ainsi, la rupture conventionnelle collective, l’abandon de poste ou encore la résiliation judiciaire peuvent être des solutions. Dans ce dossier complet, retrouvez toutes les informations indispensables à savoir pour chaque type de rupture de contrat : définition légale, procédure, avantages et inconvénients, ouverture des droits au chômage.
Quels sont les éléments essentiels du contrat de travail?
Les éléments essentiels du contrat de travail ne font pas l’objet d’une définition légale. En font partie la rémunération, la qualification, la durée du travail stipulée au contrat (voir toutefois ci-dessous) et, plus généralement, les attributions du salarié.
Comment contester la rupture conventionnelle du contrat de travail?
Le salarié et l’employeur peuvent contester cette rupture conventionnelle du contrat de travail, son homologation ou son refus d’homologation devant le Conseil de prud’hommes, dans les 12 mois suivant la date d’homologation de la convention. Le départ négocié fait l’objet d’un accord conclu entre les parties.