Comment eviter les herbes sauvages au potager?

Comment éviter les herbes sauvages au potager?

Pour lui, bien qu’il soit difficile de laisser les herbes sauvages prospérer au milieu des légumes du potager, il est intéressant de ne pas tout arracher. Elles attirent les auxiliaires, par exemple les coccinelles qui pondent sur le chénopode. Tout d’abord, il faut savoir distinguer les plantes sauvages annuelles des vivaces.

Comment lutter contre cette mauvaise herbe?

La prévention est la clé contre cette mauvaise herbe. Il fait partie des vivaces. À petite dose, le plantain lancéolé pourrait presque être décoratif. Mais s’il commence à envahir tout le jardin, cela commence à devenir gênant. Il faudra alors arracher ses racines à l’aide d’un couteau désherbeur ou une gouge.

Quels sont les végétaux comestibles?

On connaît tous le romarin et les infusions qu’on peut en faire… Ou encore le basilic et d’une façon générale les herbes aromatiques sauvages. Mais nos grands-mères connaissaient bien tous les végétaux sauvages comestibles. Du printemps à l’automne, elles qui les utilisaient pour les manger, mais aussi se soigner.

Pourquoi cette plante contribue à la biodiversité?

Cette plante, comme beaucoup d’autres, contribue à la biodiversité car les oiseaux l’apprécient beaucoup ! Ils se régalent de ses graines. Un de ses atouts est de pouvoir soulager les piqûres d’orties, tout comme l’oseille et la mauve. C’est bien pratique car on les trouve souvent près des orties.

Comment distinguer les plantes sauvages de chénopode?

Elles attirent les auxiliaires, par exemple les coccinelles qui pondent sur le chénopode. Tout d’abord, il faut savoir distinguer les plantes sauvages annuelles des vivaces. Les annuelles se développent sur un cycle de vie, de la germination à la production de graines, avant de mourir.

Est-ce que les céréales Mutantes se multiplient dans les zones agricoles?

C’est ainsi que ces céréales mutantes, caractérisées par un rachis solide (le rachis désigne la fixation de la graine à l’épi), vont tendre à se multiplier dans les zones cultivées, au détriment des céréales ordinaires. C’est à ce phénomène que les archéologues reconnaissent l’existence de pratiques agricoles.