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Quels sont les composants de Letrozole?
Informations importantes concernant certains composants de Letrozole. Le Letrozole contient du lactose (sucre du lait). Si votre médecin vous a avertie que vous souffriez d’une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.
Quel est le traitement hormonal du cancer du sein?
Il s’agit d’un traitement hormonal (ou « endocrinien ») du cancer du sein. Dans quel cas le Letrozole est-il utilisé. Le Letrozole est utilisé pour empêcher le cancer du sein de réapparaître. Il peut être utilisé comme traitement initial après une chirurgie mammaire ou après cinq ans de traitement par le tamoxifène.
Comment bloquer le cancer du sein?
Une fois dans l’organisme, il bloque l’action de l’aromatase, une enzyme nécessaire à la production d’œstrogènes. Or, le cancer du sein hormono-dépendant nécessite des œstrogènes pour se développer. Un traitement à base de létrozole permet, par conséquent, d’éviter la croissance de la tumeur.
Est-ce que le Femara vous protège du cancer?
Réponse de l’oncologue : le femara vous protège d’une récidive du cancer, à hauteur de 6 \% de plus que sans traitement du tout !!!! Tout ça pour ça?
Quand est prescrite la chimiothérapie pour le cancer du sein?
Dans le contexte du cancer du sein, la chimiothérapie n’est prescrite que dans le traitement des cancers du sein invasifs. Le plus souvent, elle est mise en place entre trois et six semaines après la chirurgie, le temps que le sein cicatrise.
Quelle est la dose recommandée de létrozole pour le cancer du sein?
L’efficacité n’a pas été démontrée chez les patientes atteintes d’un cancer du sein avec des récepteurs hormonaux négatifs. La dose recommandée de létrozole est de 2,5 mg en une prise quotidienne. Aucun ajustement de la dose n’est nécessaire chez la patiente âgée.
Comment gérer les effets secondaires?
Il existe d’autres façons de gérer les effets secondaires : acupuncture, alimentation, exercices…Ces approches ne sont pas toujours présentées par les équipes médicales ici. Moi c’est la psychologue de l’hôpital qui m’en parlait et non les médecins ou infirmières qui me parlaient juste de pilules.