Pourquoi ne pas garder un tampon la nuit?

Pourquoi ne pas garder un tampon la nuit?

Porter un tampon la nuit, attention aux infections vaginales Son port n’est pas dangereux. En revanche, garder un tampon trop longtemps peut favoriser la prolifération de bactéries et provoquer une infection vaginale (syndrome du choc toxique).

Pourquoi il ne faut pas garder un tampon plus de 8h?

Le tampon hygiénique ne doit pas être gardé plus de huit heures, sous peine de risquer un choc toxique dû au staphylocoque doré, ont rappelé mardi des chercheurs et médecins. Il est ainsi recommandé d’utiliser « par exemple des serviettes la nuit et des tampons le jour ».

Comment affecter le choc toxique?

Le syndrome du choc toxique peut rapidement affecter plusieurs organes différents y compris le foie, les poumons et les reins. Comme cette affection progresse rapidement, l’aide médicale est nécessaire aussitôt que possible. Le syndrome du choc toxique est une forme particulière de choc septique. Il peut toucher les hommes et les femmes.

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Quel est le syndrome du choc septique?

Le choc septique est une forme grave de septicémie caractérisée par un état de choc (une pression artérielle si basse que la vie en est menacée). Le syndrome du choc toxique est une forme particulière de choc septique provoqué par les toxines des bactéries Staphylocoque et Streptocoque.

Est-ce que le SCT est responsable du choc toxique?

En l’espace de quelques semaines, une toxine produite par le staphylocoque doré est identifiée comme responsable du choc toxique. Le CDC conseille alors aux femmes soucieuses d’éviter le SCT d’éviter l’utilisation de tampons, ou du moins d’en espacer l’usage.

Quelle est la recrudescence du choc toxique?

Il semblerait que le nombre de patientes exposées à ce syndrome lié aux règles ait explosé ces dernières années : en 1990, aucun cas de syndrome du choc toxique n’avait été recensé en France. Depuis, les choses ont changé : 5 cas ont été enregistrés en 2004, 19 en 2011 et jusqu’à 22 en 2014. On ne saurait expliquer cette recrudescence.