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Quand arrêter les Anti-inflammatoires?
« Au bout de deux ou trois jours de fièvre ou de douleur persistante, il faut arrêter les anti-inflammatoires et consulter un médecin », reprend le Dr Bégaud. Attention, si l’on soupçonne un foyer infectieux (abcès dentaire, angine, otite), on ne prend pas d’anti-inflammatoire !
Quels sont les inconvénients des Anti-inflammatoires?
Les AINS peuvent être responsables de maux de tête ou de vertiges, d’effets indésirables digestifs plus ou moins graves (nausées, douleurs ou brûlures d’estomac, ulcère ou hémorragie du tube digestif), de réactions allergiques (éruption cutanée, asthme) et d’insuffisance rénale dans certaines circonstances rares.
Quels sont les anti-inflammatoires?
Parmi les plus connus figurent l’aspirine, l’Advil®, les Antadys®, l’Ibuprofène® ou encore le Voltarène®, des médicaments souvent prescrits. Cette catégorie d’anti-inflammatoires serait potentiellement nocive pour le cÅ“ur et les reins. En effet, les AINS ont été tenus responsables de : Troubles cardio-vasculaires.
Que sont les anti-inflammatoires non stéroïdiens?
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont des médicaments qui permettent de réduire ou de supprimer les symptômes liés à un phénomène inflammatoire.
Quels sont les meilleurs anti-inflammatoires pour les reins?
Parmi les plus connus figurent l’aspirine, l’Advil®, les Antadys®, l’Ibuprofène® ou encore le Voltarène®, des médicaments souvent prescrits. Cette catégorie d’anti-inflammatoires serait potentiellement nocive pour le cÅ“ur et les reins.
Quels sont les anti-inflammatoires sans cortisone?
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), c’est-à-dire sans cortisone. Ce sont par exemple l’acide acétylsalicylique (ou « aspirine » : Aspegic®, Kardegic®, Aspirine UPSA®), le diclofenac (Artotec®, Voltarène®, Xenid®), l’ibuprofène (Advil®, Nurofen®, Vicks Rhume®, Rhinadvil®), le kétoprofène (Profénid®, Ketum®), le Piroxicam (Feldene®)