Quel sont les régimes fédéraux les plus connus?
Les régimes fédéraux les plus connus sont : les États-Unis, la Russie (Fédération de Russie) le Canada, l’ Allemagne (« République fédérale d’Allemagne »), la Suisse (malgré son nom de Confédération Suisse), la Belgique, le Mexique (« Les États-Unis mexicains »), l’ Inde.
Quel est le principe de la fédération fédérale?
Article détaillé : État fédéral. Selon G. Scelle, une fédération se caractérise par : le principe de participation : les entités fédérées sont représentées et participent aux décisions fédérales prises, souvent par le bicamérisme au niveau de l’État fédéral.
Quelle est la différence entre le fédéral et la fédérale?
Le Fédéraliste, série d’articles parus en 1787-1788 en faveur de la transformation de la Confédération américaine en Fédération. La distinction entre les deux notions est parfois délicate. Par exemple, la Suisse a conservé le nom de « Confédération suisse » alors même qu’elle est un État fédéral.
Est-ce que le fédéralisme est symétrique?
Selon les cas, le fédéralisme est symétrique (toutes les entités fédérées ont des pouvoirs identiques) ou asymétrique (les pouvoirs peuvent différer d’une entité à l’autre, à la suite d’accords particuliers : cas par exemple du Québec au Canada).
Quels sont les deux types d’entités fédérées?
Le cas de la Belgique est particulier, les deux types d’entités fédérées sont, pour l’une, de nature culturelle et linguistique et pour l’autre de nature territoriale. S’il est vrai que les entités se recoupent grossièrement, un vrai bipolarisme (voir un binationalisme) Nord/Sud s’accroit toujours plus.
Quel est le terme de fédéralisme européen?
Le terme de fédéralisme européen désigne le courant politique visant la construction d’une Europe fédérale, comme le projet de fédération européenne de Robert Schuman. Il se distingue des courants confédéralistes (appelés parfois unionistes ), partisans d’une simple coopération inter-étatique,…
Est-ce que le fédéralisme est un mythe politique?
Le fédéralisme est souvent associé, à tort, avec l’idéologie et les objectifs politiques des députés de la Gironde. En particulier, l’utilisation dans le langage « courant » de l’opposition « Girondins/Jacobins » comme synonyme de « fédéralistes/centralistes » relève largement du mythe politique.