Quelle est la difference entre drogue et stupefiant?

Quelle est la différence entre drogue et stupéfiant?

Différence entre drogue et stupéfiant? Toutes les drogues ne sont pas des stupéfiants. En fait on appelle « stupéfiants », les drogues inscrites sur une liste régulièrement tenue à jour par Swissmedic, l’institut suisse des produits thérapeutiques.

C’est quoi un stupéfiant?

Le terme « stupéfiant » a une signification juridique : c’est le terme utilisé pour désigner les substances psychoactives interdites, inscrites sur une liste des « stupéfiants ». Depuis quelques années de nouvelles substances psychoactives naturelles ou synthétiques (NSP) apparaissent sur le marché.

Est-ce que l’alcool est un stupéfiant?

Réponse brève : non. L’alcool est incontestablement une drogue psychotrope au même titre que la cocaïne, le cannabis, l’héroïne ou la nicotine. Il faut tout d’abord se demander si l’alcool est réellement une drogue, au même titre que la cocaïne et le cannabis, par exemple.

Quel est le principe de la loi sur les stupéfiants?

Le principe général de la loi sur les stupéfiants est l’interdiction de leur usage, même simplement récréatif.

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Quels sont les trois grands groupes de stupéfiants?

Ainsi, si les trois grands groupes de substances que sont les morphiniques, cocaïniques et cannabiques sont considérés comme des stupéfiants par la plupart des pays ; d’autres substances peuvent avoir un statut plus variable en fonction des pays.

Quelle est la définition du terme stupéfiant?

Historique [ modifier | modifier le code] Le terme « stupéfiant » apparaît en France dans l’Encyclopédie du XIXe siècle en 1858 . À l’origine, avant la convention de 1961, ce terme possédait une définition en pharmacologie où il désignait, par analogie avec leurs effets : « qui stupéfie », un groupe de substances…

Est-ce que le stupéfiant peut être utilisé devant le tribunal correctionnel?

L’usage de stupéfiant peut faire l’objet de poursuites devant le tribunal correctionnel. Si la loi ne prévoit aucune différence entre les stupéfiants, les juges tiennent compte de la substance saisie, du contexte de l’affaire et de la situation personnelle de l’usager lorsqu’ils décident d’une peine.