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Quelle est la douleur de la vulve?
La douleur peut concerner toute la vulve, y compris les grandes lèvres, ou seulement une partie de celle-ci, telle que le vestibule qui correspond à l’entrée du vagin. Dans ce cas, on parle de vestibulodynie.
Quelle est l’origine d’une vulvodynie?
L’origine des vulvodynies n’est pas bien définie. Comme pour la fibromyalgie, on suppose que la perception de la douleur est amplifiée à cause d’un problème du système nerveux. Le diagnostic d’une vulvodynie repose sur :
Pourquoi ne vous sentez pas embarrassée à parler de la douleur à la vulve?
Ne vous sentez pas embarrassée à parler de la douleur que vous ressentez. Vous devez vous assurer que cette douleur n’est pas provoquée par un autre trouble avant d’essayer de la traiter. La vulvodynie ne présente qu’un seul symptôme principal, des douleurs à la vulve. La douleur est décrite différemment par les femmes.
Quelle est la douleur ressentie?
Le plus souvent, la douleur ressentie se caractérise par une brûlure intense, particulièrement invalidante, parfois associée à un inconfort vulvaire sous la forme d’une gêne, d’une irritation, de sensation de picotements, de tiraillements, de pincements ou de sécheresse. L’envie de gratter est généralement absente.
Comment se débarrasser d’une vulvodynie?
Le recours au laser vaginal pourrait également offrir une solution. Mais ces pistes, toujours à l’étude, n’ont pas encore été validées. Heureusement, il est déjà possible, en conjuguant toutes les thérapies existantes, de parvenir à se débarrasser d’une vulvodynie.
Comment se déclenche la douleur au vestibule?
Souvent, la douleur est localisée en un point précis du vestibule – la zone située entre le clitoris en avant, la jonction des petites lèvres en arrière et leur face interne latéralement – et se déclenche lorsqu’on presse légèrement cette zone.
Est-ce que les thérapies cognitivo-comportementales diminuent la douleur au pelvien?
Une étude parue en début d’année (The Journal of Sexual Medicine) montre que les thérapies cognitivo-comportementales et celles apprenant à relâcher et à étirer les muscles pelviens diminuent chacune la douleur à la pénétration d’environ un tiers au bout de six mois et que cet effet est cumulatif.