Quelle place le travail A-t-il dans la société française du milieu du 19e siècle?
Au XIXe siècle, l’industrie la plus gourmande en main d’œuvre est l’industrie textile, qui travaille surtout le coton et la laine. Dans ces industries très mécanisées, les femmes sont très nombreuses (environ la moitié des effectifs). Les enfants sont aussi très employés ( quelquefois jusqu’au tiers de effectifs).
Quels éléments illustrent la pénibilité de la condition ouvrière au XIXe siècle?
Au XIX ème siècle, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l’exploitation sans cesse accrue : privés d’argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible promiscuité.
Quelles sont les caractéristiques des conditions de travail des ouvriers?
Plan
- Des types de travaux très différents.
- Les femmes ont des horaires plus fixes.
- Décalages d’horaires fréquents pour les hommes.
- La nuit entre hommes.
- Beaucoup d’hommes au travail le week-end.
- Des efforts physiques importants pour les ouvriers.
- Ouvrières : un travail plus répétitif.
- Une OS sur quatre travaille à la chaîne.
Qui sont les ouvriers au 19ème siècle?
Les ouvriers au 19ème siècle. Les ouvriers sont les gens qui travaillent dans les. usines. Celui qui dirige l’usine, qui est le chef des ouvriers et qui les commande, est le patron de l’usine.
Quel est le patron de l’usine?
Celui qui dirige l’usine, qui est le chef des ouvriers et qui les commande, est le patron de l’usine. Les ouvriers travaillent aussi dans les mines, sur les chantiers…..
Quels sont les progrès technologiques du 19ème siècle?
Découvrir les progrès techniques et scientifiques du 19ème siècle ainsi que leurs instigateurs. Les énergies majeures de l’âge industriel (charbon puis pétrole) et les machines. Le travail à la mine, à l’usine, à l’atelier, au grand magasin.
Quel est l’envol industriel du XIXe siècle dans les villes européennes?
L’envol industriel du XIXe siècle jette dans les villes européennes une population rurale déracinée qui doit se loger elle-même.