Comment Peut-on détecter la sclérose en plaques?
Sclérose en plaques : un diagnostic long à poser
- un examen neurologique ;
- une IRM du cerveau et de la moelle épinière.
- un fond d’œil au cours d’un examen ophtalmologique ;
- éventuellement une ponction lombaire pour analyse du liquide céphalorachidien (recherche de signes d’inflammation) ;
Comment poser le diagnostic de sclérose en plaques?
Pour poser le diagnostic de sclérose en plaques, il faut que le médecin constate : des symptômes qui évoluent dans le temps : survenue de deux épisodes distincts de la maladie (cas de la sclérose en plaques évoluant par poussées) ; ou évolution progressive de la maladie sur six mois (cas de la forme progressive de sclérose en plaques),
Est-ce que le fait d’avoir un frère atteint de sclérose en plaques?
Par exemple, le fait d’avoir un parent, un frère ou une sœur atteints de sclérose en plaques augmente de façon significative le risque de contracter la maladie. De plus, la sclérose en plaques est plus probable chez les personnes qui portent certains marqueurs génétiques sur la surface de leurs cellules.
Quels sont les examens complémentaires pour la sclérose en plaques?
Les examens complémentaires peuvent aider à confirmer le diagnostic. Il s’agit de l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), de la ponction lombaire et des prises de sang. Faux, la sclérose en plaques n’est pas une maladie psychosomatique !
Quel sont les réseaux de santé dédiés à la sclérose en plaques?
Il existe, dans certaines régions, des réseaux de santé dédiés à la sclérose en plaques qui contribuent à l’information, au soutien et à l’accompagnement. Leurs coordonnées peuvent être consultées sur le site du groupement national des réseaux de santé SEP. Enfin, les traitements dits « de fond », qui agissent plutôt sur le système immunitaire.