Est-ce que le jus de cranberry est bon?

Est-ce que le jus de cranberry est bon?

Le jus de canneberge pur est une excellente source de vitamine C et de vitamine E. C’est également une bonne source de la plupart des vitamines B, K et A, ainsi que de nombreux minéraux et antioxydants. Il peut aider à maintenir la santé immunitaire, cardiovasculaire, de la peau et des organes, entre autres.

Pourquoi le jus de canneberge est bon?

La canneberge renferme différents types de flavonoïdes, de puissants antioxydants qui permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de diverses maladies liées au vieillissement.

Est-ce que la consommation de jus de canneberge serait efficace chez les femmes?

La consommation de jus de canneberge ou la prise de comprimés de canneberge serait particulièrement efficace chez les femmes pour prévenir les infections urinaires.

Pourquoi la canneberge est-elle utilisée pour lutter contre les infections?

L’ingestion quotidienne de produits à base de canneberge pour lutter contre les infections ne date pas d’hier. Consommée durant des siècles par les autochtones, la canneberge a gagné une aura médicinale que les promoteurs de santé naturelle vantent encore aujourd’hui : antibactérienne, laxative, contre les crampes d’estomac, etc.

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Quels sont les bienfaits de la canneberge?

Les bienfaits de la canneberge. Des études indiquent que la consommation régulière de jus de canneberge pourrait prévenir les infections par Helicobacter pylori à l’ estomac13,15. Cette bactérie est une cause de plusieurs problèmes d’estomac, dont les gastrites chroniques et les ulcères gastriques et duodénaux.

Est-ce que le jus de canneberge ne soigne pas les infections urinaires?

L’étude menée par une équipe de l’Université Yale et rapportée par plusieurs médias des deux côtés de l’Atlantique (notamment ici et ici), affirme que le jus de canneberge ne prévient ni ne soigne les infections urinaires courantes. L’étude est parue le 27 octobre dans le Journal de l’Association médicale américaine (JAMA)