Pourquoi éviter de penser à la mort?
Premier argument : Il faut éviter de penser à la mort, car elle peut toujours survenir à l’improviste, si on est obsédé par la mort, « on ne vit plus ». La mort s’impose à nous, en effet, de manière paradoxale. C’est une certitude, mais en même temps, une contingence.
Quelle est la première partie de penser à la mort?
PREMIÈRE PARTIE : DANS UNE CERTAINE MESURE, IL APPARAÎTRAIT BÉNÉFIQUE DE NE JAMAIS PENSER À LA MORT. Premier argument : Il faut éviter de penser à la mort, car elle peut toujours survenir à l’improviste, si on est obsédé par la mort, « on ne vit plus ».
Quelle est l’expérience de la mort?
« L’expérience de la naissance est la première expérience de l’émergence de la mort », déclarait Françoise Dolto dans Parler de la mort (Mercure de France, 1998). Notre venue au monde nous installe parmi ceux qui vont mourir.
Est-ce que la mort est effrayante?
Pascal, dans cette pensée nous dit donc que cette pensée de la mort est effrayante, un abîme insondable. Pascal qualifie l’homme de prisonnier face à la mort, car nul ne peut y échapper. Et la mort est d’autant plus effrayante que nous n’avons aucune certitude en ce qui concerne l’immortalité de l’âme.
Quelle est la pensée de la mort?
La pensée de la mort est une pensée qui nous obsède, parce que le temps psychologique nous travaille et nous inquiète. La mort est présente en arrière fond de nos angoisses sourdes et pourtant, même en y pensant souvent, nous y pensons sans savoir ce qu’elle représente.
Est-ce que nous pensons à la mort?
Devant la mort, chacun de nous se trouve placé dans une situation paradoxale : obsédé par une chose dont nous ignorons tout, tout en croyant en savoir assez pour la craindre ! Ce qui n’a en fait aucun sens. A quoi pensons-nous quand nous pensons à la mort?