Table des matières
Quels médicaments pourraient vous aider à réduire votre consommation de statines?
Les médicaments que votre médecin pourrait ajouter à votre régime médicamenteux tout en réduisant votre consommation de statines comprennent l’ézétimibe, les séquestrants d’acides biliaires ou la niacine. Ces médicaments peuvent vous aider à gérer votre taux de cholestérol pendant que vous prenez la dose la plus faible de statines.
Quelle est la place des statines dans la prise en charge?
Selon leurs conclusions, les statines ont une place dans la prise en charge de certains patients car elles sont associées à une baisse de la mortalité totale d’environ 10\% et du risque de survenue d’un accident cardiovasculaire (infarctus du myocarde notamment). Toujours selon la HAS :
Comment concevoir un traitement contre le cholestérol?
Ils peuvent vous aider à concevoir un plan de traitement alternatif. En diminuant votre taux de cholestérol par l’alimentation, l’exercice ou la perte de poids, vous pourriez éliminer le besoin de prendre des statines ou d’autres médicaments contre le cholestérol. Si tu peux faire ça, c’est génial !
Pourquoi l’aspirine inhibe la synthèse des prostaglandines?
L’aspirine agit en inhibant la synthèse des prostaglandines par son action sur les cyclo-oxygénases (COX 1 et COX 2). Son inhibition de la COX 1 est notamment responsable des effets indésirables digestifs et hémorragiques.
Quelle est l’efficacité des statines?
Selon lui, « en dessous de 3g/L de cholestérol, il n’y a aucune efficacité démontrée des statines. Au-dessus, on entre dans une autre maladie, l’ hypercholestérolémie familiale. Là, il est possible qu’elles aient un effet, mais encore ce n’est pas démontré. Donc, dans 98 \% des cas, elles ne servent à rien.
Quelle est la polémique sur les statines ouvertes?
Une étude prospective réalisée par cinq cardiologues français à partir de questionnaires soumis à leurs patients montre que la polémique sur les statines ouverte par le livre du Pr Philippe Even pourrait causer 1159 décès et 4992 infarctus par an en France. Face à cette mise en cause, le pneumologue maintient que ces traitements sont inutiles.