Quels sont les animaux interdits au cirque?
Certains interdisent également la détention de tous les animaux de cirque – non seulement les animaux sauvages comme les tigres, les lions, les girafes ou les éléphants, mais aussi les espèces domestiques comme les chevaux ou les chiens, qui sont aussi fréquemment utilisés dans les numéros de cirque.
Pourquoi interdire les cirques?
Outre la maltraitance, le stress des spectacles est une source de préoccupation permanente pour ces bêtes. En jouant un numéro en cirque, un animal connaît très bien qu’il peut endurer. La peine est souvent exécutée devant la foule. Ces formes de maltraitance des animaux en cirques sont publiées à travers des vidéos.
Comment arrêter la reproduction des animaux dans les cirques?
L’arrêt de la reproduction et de toutes nouvelles acquisitions d’animaux dans les cirques – afin de contrôler le flux des animaux présents dans les cirques en France. La mise en place de structures d’accueil publiques – afin d’accueillir les animaux dont les situations seront les plus critiques.
Quel est le calendrier fixé pour les animaux sauvages dans les cirques?
Ainsi et malgré ce que nous avons pu lire ou entendre, il n’y a pas de calendrier fixé pour la sortie des animaux sauvages dans les cirques. Nous savons que les espèces à faibles effectifs telles que les éléphantes, les hippopotames ou encore la hyène seront replacés dans des structures d’accueil rapidement.
Quelle est l’inquiétude dans le cirque contemporain?
Sans surprise, les annonces d’hier ont suscité l’inquiétude dans le monde des cirques « traditionnels » avec animaux, durement frappés par la crise du coronavirus, qui attirent selon leurs représentants quelque 13 millions de spectateurs annuels contre un million pour le cirque « contemporain ». « On est choqués.
Quels animaux vont disparaître dans les années à venir?
Photo AFP – BERTRAND GUAY l’essentiel Les animaux sauvages vont disparaître dans les années à venir des cirques ambulants et les orques et dauphins sortir des delphinariums, a annoncé hier le gouvernement, face à la montée en puissance de la question du bien-être animal dans le débat public. Adieu lions, tigres, ours, girafes, éléphants…