Combien de frottis doit-on faire tous les trois ans?

Combien de frottis doit-on faire tous les trois ans?

Entre 25 et 65 ans, après deux frottis négatifs réalisés à un an d’intervalle, on doit faire un frottis tous les trois ans.

Quelle est la durée du frottis?

Le frottis est généralement suivi ou précédé d’un entretien portant sur l’état de santé de la femme, les éventuels traitements suivis et antécédents. Les résultats sont obtenus au bout de 3 semaines environ et sont communiqués à la patiente.

Quand faut-il arrêter les frottis?

Et ce, jusqu’à 65 ans. Cela dit, la question de l’âge auquel il faut arrêter les frottis est discutée parmi les médecins : certains cessent d’en faire à leurs patientes après 65 ans, d’autres préfèrent continuer le suivi. Le frottis devient inutile à la suite d’une hystérectomie totale (lorsque le col et l’utérus ont été enlevés).

Quel est l’âge auquel il faut arrêter les frottis?

Cela dit, la question de l’âge auquel il faut arrêter les frottis est discutée parmi les médecins : certains cessent d’en faire à leurs patientes après 65 ans, d’autres préfèrent continuer le suivi. Le frottis devient inutile à la suite d’une hystérectomie totale (lorsque le col et l’utérus ont été enlevés).

Pourquoi il n’y a pas de frottis chez le gynécologue?

Il n’y a pas que chez le gynécologue qu’on peut faire un frottis. Heureusement, parce que certaines femmes n’ont pas le choix.

Quel est le point avec la ménopause?

Le point avec les Dr Igor Popovic, gynécologue-obstétricien à Toulouse et Marie-Claude Benattar, gynécologue psychosomaticienne à Boulogne. La ménopause s’accompagne de symptômes parfois inconfortables comme les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, des troubles du sommeil, une irritabilité…

Comment faire pour que le frottis soit lisible?

Pour que le prélèvement de cellules soit lisible, le frottis doit être fait : – en l’absence de traitement local (ovules, gel lubrifiant, spermicide,…), d’inflammation ou d’infection – après un traitement local par estrogènes chez les femmes n’ayant pas de traitement hormonal après la ménopause ( voir plus loin).