Comment agissent les neurotransmetteurs dans le cerveau?
Ils opèrent dans le cerveau, notamment en augmentant le taux d’un neurotransmetteur appelé sérotonine (5-hydroxytryptamine ou 5-HT). Ils agissent en inhibant la recapture de la sérotonine au niveau de la synapse.
Quel est le neurotransmetteur?
Le neurotransmetteur, souvent appelé messager chimique, est une molécule utilisée par le système nerveux pour transmettre des messages entre les neurones ou des neurones aux muscles. Ils sont libérées à la terminaison des neurones.
Quels sont les neurotransmetteurs à petites molécules?
On divise les neurotransmetteurs en neurotransmetteurs à petite molécule et en neuropeptides. Les neurotransmetteurs à petites molécules comprennent eux-mêmes les acides aminés et les amines (1). Il s’agit de petites molécules organiques stockées dans les vésicules synaptiques (1).
Quels sont les systèmes de recapture?
Ces systèmes de recapture sont la cible de médicaments spécifiques comme la cocaïne, la fluoxétine (sérotonine), l’imipramine (noradrénaline) ou la venlafaxine (noradrénaline, sérotonine) (tableau).
Comment se passe l’information dans le cerveau?
Dans le cerveau, l’information passe d’un neurone à l’autre par l’intermédiaire de la synapse, un espace entre deux neurones où le neurone qui envoie l’information libère des neurotransmetteurs. Ces neurotransmetteurs sont ensuite capturés par les récepteurs du neurone récepteur de l’information.
Est-ce que ces médicaments peuvent causer des troubles de la mémoire?
» Cependant, on n’a pas encore montré qu’il y a un lien de cause à effet. Ces médicaments sont en effet utilisés chez des patients anxieux, qui sont de toute façon plus à risque pour les troubles de la mémoire.
Quelle est l’efficacité des ISRS dans le traitement de la dépression légère?
L’efficacité des ISRS dans le traitement de la dépression légère à modérée est discutée. Deux méta-analyses d’essais cliniques trouvent que, en cas de dépression légère ou de dépression modérée, qui correspondent à la grande majorité des cas de dépression, l’effet des ISRS est petit ou nul comparé au placebo.