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Comment Appelle-t-on une chanson qui reste dans la tête?
Les scientifiques qui étudient la question depuis de nombreuses années, appellent ce phénomène « le vers d’oreille », qualifié également « d’imagerie musicale involontaire » (INMI) par la profession.
Comment faire pour s’enlever une chanson de la tête?
Il suffirait de… mâcher du chewing-gum ! La mastication – d’un chewing-gum ou même d’un bâton de cannelle – permet justement d’agir sur la partie du cerveau responsable du souvenir involontaire de la musique.
Comment trouver une musique sans connaître les paroles?
La fonctionnalité s’appelle « Hum to search ». Vous n’avez simplement qu’à demander à Google à haute voix « Quelle est cette chanson? » puis siffloter ou fredonner ce que vous avez en tête. Après 10 à 15 secondes d’écoute, Google vous propose plusieurs morceaux.
Pourquoi les chansons trottent dans la tête?
Pour les uns, les chansons qui trottent dans la tête sont un véritable calvaire. Pour les autres, ce phénomène est agréable. Des chercheurs viennent de comprendre pourquoi. Les chercheurs ont remarqué des différences de structurelles entre les individus qui vivent mal le fait d’avoir des INMI et ceux pour qui ce phénomène est plaisant.
Comment vous débarrasser d’une chanson persistante?
Si vous souhaitez vous débarrassez rapidement d’une chanson persistante dans votre tête, sachez qu’ une équipe de l’université de Reading (Grande-Bretagne) a montré récemment qu’il suffisait pour cela de… mâcher un chewing-gum ! Tout simplement. Une chanson en tête? Prenez un chewing-gum…
Qui n’a jamais connu cette mélodie entêtante?
« EN BOUCLE ». Qui n’a jamais connu cette situation où une mélodie entêtante ne cesse de se répéter, en boucle ou par intermittence, dans notre tête, nous poursuivant parfois une journée entière? Ce phénomène est surnommé « vers d’oreille » et est qualifié par les scientifiques d' »imagerie musicale involontaire » (INMI).
Pourquoi cela n’a rien à voir avec l’être musicien?
« Cela n’a rien à voir avec le fait d’être ou non musicien, précise Edith Lecourt, psychanalyste et musicothérapeute (auteure de « La musicothérapie », éd Eyrolles). Mais témoigne plutôt de notre perméabilité à l’environnement sonore, qui remonte à notre vie intra-utérine.