Table des matières
Comment peut-on arriver à la violence à la maison?
Un enfant peut aussi en arriver à la violence s’il est lui-même victime ou témoin de violence à la maison, car il se construit par identification à ses parents.
Est-ce que les enfants sont les plus violents?
Des études ont d’ailleurs montré que, dans les premières années de primaire, les enfants les plus violents étaient ceux qui étaient le plus rejetés par leurs camarades. Le problème c’est qu’en devenant brutal, cela ne fait qu’amplifier le phénomène, les entraînant dans un cercle vicieux.
Comment rester ferme face à la violence?
Rester ferme face à la violence. Si l’écoute, la bienveillance et les câlins sont des pistes pour apaiser un enfant en colère, la fermeté est aussi rassurante. « Tenir bon, maintenir une certaine contenance est positif pour certains enfants. Quand il est en fouillis intérieur, il a besoin de son cadre et de sentir qu’il tient.
Comment se focaliser sur la violence?
Au lieu de se focaliser sur la violence, l’attention doit être attirée par ce qu’il se passe à l’intérieur de l’enfant. « Il faut se rappeler que c’est sûrement autre chose. Une tension intérieure provoque de la peur, de l’insolence, la provocation ou de la résistance (en particulier chez les adolescents).
Qui sont les victimes des violences entre les parents?
Les enfants qui entendent ou assistent à des scènes de violences entre leurs parents (ou dans lesquelles au moins un de leur parent est concerné) sont toujours des victimes. Victimes directes lorsqu’ils sont eux-mêmes frappés, insultés, harcelés, humiliés, menacés ; victimes indirectes lorsqu’ils sont exposés.
Quelle est la corrélation entre violence et troubles de la personnalité?
La forte corrélation entre violence et troubles de la personnalité devrait conduire à une évaluation de la parentalité, c’est-à-dire des compétences parentales, avant de confier l’enfant à un parent auteur de violences conjugales.