Comment se comporter face a une personne difficile?

Comment se comporter face à une personne difficile?

Voici comment faciliter vos relations avec les gens déplaisants :

  1. Garder son calme :
  2. Écouter :
  3. Comprendre la situation de l’autre :
  4. Oublier les offenses banales :
  5. Poser des questions :
  6. Ne pas avoir le dernier mot :
  7. Être flexible :
  8. Réfléchir avant de parler :

Comment neutraliser les personnes difficiles?

Ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est que vous maîtrisez bien plus de choses que vous ne le pensez.

  1. Ne pas se laisser envahir. Publicité
  2. Prendre de la hauteur.
  3. Être conscient de ses émotions.
  4. Poser des limites.
  5. Se préserver.
  6. Se concentrer sur les solutions plutôt que les problèmes.
  7. Ne pas oublier.
  8. Bannir les pensées négatives.

Pourquoi ne pas apprécier quelqu’un qui vous aime bien?

Quand vous parlez avec quelqu’un qui ne vous apprécie pas, cela peut s’avérer être une invitation à un échange négatif . Soyez aimable avec la personne qui vous importune. De nombreux travaux en psychologie montrent qu’il est très difficile de ne pas apprécier quelqu’un qui vous aime bien.

LIRE AUSSI:   Comment se fait la fermentation du vin?

Pourquoi rester au-dessus de la situation?

Peu importe le comportement de votre collègue, restez au-dessus de la situation et évitez de rapporter des éléments personnels au travail. Communiquez les problématiques auxquelles vous faites face.

Est-ce que votre collègue déteste votre situation?

Essayez de voir votre situation comme une leçon sur la façon de se comporter avec les autres. Si ce que votre collègue déteste par-dessus tout c’est de se compliquer les tâches, évitez de répéter ce genre d’action dans vos échanges futurs [12] . Prenez du recul par rapport à la situation sur le plan émotionnel.

Quels sont les traits de personnalité communs aux victimes du travail?

Une étude a identifié des traits de personnalité communs aux victimes du travail et a constaté qu’elles « avaient tendance à être moins indépendantes, extraverties et moins stables que les non-victimes » (Coynea, Seignea et Randall, 2010, p. 335).