Est-il grave de ne pas avoir ses règles?
L’absence de règles est tout à fait naturelle lorsque, par exemple, la femme est enceinte, allaite ou approche de la ménopause. Mais en dehors de ces situations, elle peut être un signe révélateur d’un stress chronique ou encore d’un problème de santé comme l’anorexie ou d’un trouble de la glande thyroïde.
Pourquoi j’ai pas mes règles depuis 2 mois?
Cela peut être banal (une ovulation qui ne se fait pas un mois pour des raisons inconnues, ça arrive, et ia peut être lié à un choc psychologique ou un changement dans la vie), mais cela peut aussi être lié à une perte de poids, à un médicament, à un trouble hormonal.
Qu’est-ce qui peut empêcher d’avoir ses règles?
Certains états médicaux à long terme tels qu’une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l’arrêt ou l’irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Quelle est la conséquence de la contraception sans règles?
Pour conclure, « contraception sans règles » n’a aucune incidence sur la fertilité. « A l’arrêt de la pilule, la fertilité reprendra normalement, avec cependant des variations selon les femmes comme c’est toujours le cas après l’arrêt de la pilule.
Quelle est la prise d’une contraception hormonale?
La prise d’une contraception hormonale. Les « règles » qui surviennent entre 2 plaquettes de pilules ne sont pas des règles liées à un cycle ovulatoire, mais des saignements de « privation » à l’arrêt des comprimés.
Est-ce que vous avez des menstruations irrégulières?
Le fait de ne pas avoir ses règles pendant un cycle et d’avoir des menstruations qui deviennent irrégulières peut indiquer que vous amorcez votre ménopause, surtout si vous éprouvez d’autres symptômes de la ménopause (p. ex., des bouffées de chaleur).
Pourquoi il n’y a plus d’ovulation sous pilule?
Comme il n’y a plus d’ovulation sous pilule, il n’est effectivement pas correct d’employer le terme règles. Il s’agit en réalité de saignement artificiels, et plus précisément d’hémorragies de privation dues à la chute d’hormone en fin de plaquette.