Pourquoi les médicaments antihistaminiques perdent-ils de leur efficacité avec le temps?
Les médicaments antihistaminiques n’empêchent pas la réaction allergique mais ils interfèrent dans une certaine mesure en bloquant (parfois beaucoup, parfois moins…) l’accès de l’histamine à ces récepteurs. Les antihistaminiques perdent-ils de leur efficacité avec le temps?
Quel est le recul des antihistaminiques?
Les antihistaminiques sont des médicaments très sécuritaires, très peu toxiques et qui sont éliminés rapidement de l’organisme. Nous n’avons pas beaucoup de recul sur les antihistaminiques de deuxième génération et avons seulement cinq ans de recul sur les produits les plus récents (Aerius, notamment).
Pourquoi parle-t-on d’antihistaminiques?
Comme leur nom l’indique, les antihistaminiques agissent en bloquant l’effet de l’histamine, une protéine impliquée dans de nombreuses réactions allergiques. Pourquoi parle-t-on d’antihistaminiques de première et de deuxième génération?
Quels sont les antihistaminiques de deuxième génération?
Les antihistaminiques suivants sont des antihistaminiques sédatifs : 1 la diphénhydramine 2 2 doxylamine 3 3 la cyclizine, 4 4 Il a été prouvé que les antihistaminiques de deuxième génération provoquent moins de somnolence et plusieurs personnes les utilisent pour traiter les symptômes d’allergies à long terme.
Comment retarder la prise de medicaments?
La décision de retarder la prise de medicaments exige une surveillance étroite et une évaluation des risques de chutes et de blessures, particulièrement si vous êtes plus âgé. Plus vous êtes âgé, plus vous risquez de faire des chutes.
Quels sont les effets secondaires d’un traitement?
Les effets les plus courants (qui apparaissent dès les premiers jours d’un traitement) sont la nausée, les vomissements, les étourdissements (baisse de la pression artérielle), la somnolence et les hallucinations visuelles.
Quels sont les effets secondaires de la somnolence?
Les effets secondaires peuvent comprendre la somnolence, les hallucinations, l’enflure des jambes ainsi que des comportements obsessifs à l’égard de la nourriture, de la sexualité, de la consommation, du jeu et d’Internet