Table des matières
- 1 Comment contacter un professionnel spécialisé en abus sexuels?
- 2 Comment expliquer les abus sexuels aux enfants?
- 3 Comment signaler l’abus à la police?
- 4 Quel est le premier réflexe d’un enfant victime d’abus sexuel?
- 5 Quel est le fondement de l’abus de faiblesse?
- 6 Comment se confier sur les risques d’abus sexuels?
Comment contacter un professionnel spécialisé en abus sexuels?
Dans ce cas, n’hésitez pas à consulter un professionnel spécialisé en abus sexuels, comme un sexologue ou un psychologue. Vous pouvez aussi communiquer avec le centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) de votre région.
Comment expliquer les abus sexuels aux enfants?
Les abus sexuels expliqués aux enfants, Jocelyne Robert, Montréal, Les Éditions de l’Homme, 2005, 112 pages. Votre enfant peut être en contact avec une personne (ex. : membre de votre famille, personne qui garde votre enfant, voisin, moniteur) qui vous met mal à l’aise à cause de sa façon de toucher votre tout-petit.
Quels sont les signes d’un abus sexuel?
Certains d’entre eux peuvent d’ailleurs être le signe d’un abus sexuel. L’enfant touche ses parties génitales si souvent qu’il néglige d’autres activités. Il continue à toucher ses organes génitaux en public même si on lui a répété à maintes reprises d’arrêter.
Comment signaler l’abus à la police?
Signalez l’abus à la police ou au bureau de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) de votre région. Votre identité demeurera confidentielle. N’oubliez pas que l’enfant s’est confié à vous, car il compte sur votre aide.
https://www.youtube.com/watch?v=qqM8mvkGl8w
Quel est le premier réflexe d’un enfant victime d’abus sexuel?
En pratique, le premier réflexe d’un enfant victime d’abus sexuel ou de ses parents est rarement de se rendre au commissariat de police ou à la gendarmerie pour y déposer une plainte. Certains préfèrent demander conseil à leur médecin de famille ou consulter un service d’urgences.
Quels troubles peuvent masquer un abus sexuel?
Des « métrorragies » chez une enfant impubère, une infection à germe sexuellement transmissible, un traumatisme des organes génitaux externes, une grossesse chez une adolescente ou des rectorragies doivent faire évoquer un abus sexuel. Des troubles fonctionnels peuvent masquer un abus sexuel.
Quel est le fondement de l’abus de faiblesse?
Dans cette hypothèse et en l’absence de toute « fragilité » avérée, il n’est pas possible d’agir sur le fondement de l’abus de faiblesse. Toutefois, si la victime est dupée par un tiers à qui elle avait confié la gestion de son patrimoine, elle peut le poursuivre pour « abus de confiance ».
Comment se confier sur les risques d’abus sexuels?
De plus, un enfant qui a été informé sur les risques d’abus sexuels se confiera plus facilement si jamais il en est victime. L’objectif n’est toutefois pas de lui donner l’impression que tout le monde est dangereux, mais plutôt de l’informer au sujet des risques d’abus sexuels.