Table des matières
Comment fonctionne aide médicale à mourir?
L’aide médicale à mourir consiste en l’administration de médicaments par un médecin à une personne en fin de vie, à sa demande, dans le but de soulager ses souffrances en entraînant son décès.
Comment obtenir l’aide médicale à mourir?
Pour faire une demande d’aide médicale à mourir, la personne doit :
- formuler une demande verbale formelle à un professionnel de la santé et des services sociaux ;
- remplir une demande écrite via le formulaire Demande d’aide médicale à mourir, disponible auprès d’un professionnel de la santé ;
Qui peut demander aide médicale à mourir?
être atteinte d’une maladie grave et incurable; avoir une situation médicale qui se caractérise par un déclin avancé et irréversible de ses capacités; éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes, insupportables et qui ne peuvent être apaisées dans des conditions qu’elle juge tolérables.
Quelle est l’aide médicale à mourir?
L’aide médicale à mourir (AMM) est une question complexe et très personnelle. Le gouvernement du Canada est déterminé à s’assurer que les lois rendent compte de l’évolution des besoins des Canadiens, qu’elles favorisent l’autonomie et la liberté de choix, et qu’elles protègent les personnes vulnérables.
Est-ce que la Loi canadienne sur l’aide médicale à mourir?
Le 17 mars 2021, le gouvernement du Canada a annoncé que les modifications apportées à la loi canadienne sur l’aide médicale à mourir (AMM) sont officiellement en vigueur.
Comment participer à l’administration de l’aide médicale à mourir?
Tout professionnel de la santé peut aussi refuser de participer à l’administration de l’aide médicale à mourir pour les mêmes raisons. Il doit également en informer les instances responsables qui feront le nécessaire afin que les soins et le soutien nécessaires soient apportés à la personne et à ses proches.
Combien de fois a-t-il prodigué l’aide médicale à mourir?
À 82 ans, le médecin de Neuville, près de Québec, raconte qu’il a prodigué l’aide médicale à mourir 105 fois depuis l’entrée en vigueur de la loi en décembre 2015. Jusqu’à maintenant, la réflexion entourant l’aide médicale à mourir pour les gens souffrant d’alzheimer a toujours tourné autour du concept de consentement anticipé.