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Est-ce que chacun supporte la solitude?
En conclusion, chacun supporte plus ou moins bien la solitude, et il nous arrive à tous de fuir le face-à-face avec nous-mêmes en s’étourdissant de monde. L’important est de pouvoir alterner moments de solitude et moments de dépendance : c’est ce qui signe la maturité affective. Que faire?
Qu’est-ce que la solitude?
De mon point de vue, c’est la solitude qui nous fait passer du statut d’homme mortel à celui d’être humain. Car elle nous met en contact direct avec nous-mêmes et nous offre un accès privilégié à notre richesse intérieure. Elle nous offre l’opportunité de nous découvrir, de rendre chacun d’entre nous unique et de nous ouvrir pleinement aux autres.
Quand l’homme recourt à la solitude?
En premier lieu, l’homme recourt impulsivement à la solitude quand il ne s’entend pas très bien avec son environnement social, ou lors de l’absence d’entente et de compréhension avec les membres de sa famille, si bien qu’il trouve tellement de peine pour s’ouvrir sur le monde.
Est-ce que la solitude permet de se concentrer?
D’ailleurs, si la solitude est un moment de détente; elle permet également de se concentrer. Aussi donne-t-elle à l’individu l’occasion de se remettre en question et de procéder à de grandes décisions cruciales concernant son avenir et sa vie en général. En d’autres termes, elle permet de mieux approfondir sa réflexion.
Quel est le titre de Cent Ans de solitude?
Cent ans de solitude (titre original : Cien años de soledad) est un roman de langue espagnole, écrit par le romancier, nouvelliste et journaliste colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature en 1982. Il est rédigé en 1965 au Mexique et publié deux ans plus tard, en mai 1967, à Buenos Aires,…
Quel est le roman de la solitude?
Cent Ans de solitude (titre original : Cien años de soledad) est un roman de langue espagnole, écrit par le romancier, nouvelliste et journaliste colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature en 1982. Il est rédigé en 1965 au Mexique et publié deux ans plus tard, en mai 1967, à Buenos Aires, en Argentine, par Editorial Sudamericana.
Pourquoi ils n’ont pas intériorisé la relation à la solitude?
Ils n’ont pas intériorisé le fait rassurant que l’on peut compter l’un pour l’autre, même séparé par les kilomètres. Une relation difficile à la solitude peut être aussi liée à une phobie. « On se situe alors dans un registre névrotique moins invalidant », souligne le psychiatre Patrice Huerre.