Est-ce que le logement est un bien juridique?
En France, le logement est un bien juridique. Il constitue également une catégorie administrative et est à ce titre soumis à des normes (de construction, superficie, équipements, occupation). Cela relève du droit de l’urbanisme et du droit immobilier.
Quelle est la définition d’un logement?
En droit anglais, un logement est défini comme une unité d’hébergement « substantielle » autonome (self-contained ‘substantial’ unit of accommodation), telle qu’un bâtiment, une partie d’un bâtiment, une caravane, une péniche ou une autre maison mobile.
Quels sont les frais de location et d’endettement des Français?
Le logement était en France au début des années 2000 devenu le premier poste de consommation et d’endettement des Français (27 \% de la consommation). Aux frais directs de location ou achat s’ajoutent les frais d’assurance, de notaire et le coût de remboursement des emprunts.
Quelle est la pénurie de logements en France?
Bien qu’il n’y a plus de pénurie de logements en France, on continue de construire des logements car le mal-logement est toujours présent, 133 000 personnes sont sans-domicile et 177 000 logent dans des hôtels ou sont hébergés sans avoir les moyens d’accéder à des logements autonomes.
Pourquoi le logement n’est pas l’habitat?
Le logement n’est pas l’habitat : la satisfaction obtenue d’un logement est un rapport entre équipements et besoins, ce qui est loin d’épuiser le rapport entre l’habitat et le mode de vie. Habiter c’est être logé et pouvoir s’approprier l’espace selon certains modèles culturels .
Quelle est la durée de location d’un logement?
La loi de 1948 n’impose aucune durée minimale de location. Tout dépend de la durée convenue entre le propriétaire et le locataire lors de la signature. Le bail à durée indéterminée est autorisé. Le locataire qui souhaite quitter définitivement son logement doit donner son congé (préavis) au propriétaire.
Quel est le système de classification des logements?
Ce système de classification des logements est encadré par la loi Carez depuis 1997 qui oblige un vendeur à mentionner la surface privative (d’un lot de copropriété ou d’une fraction de ce lot). L’objectif est de donner la meilleure visibilité possible aux acheteurs