Quel est le questionnaire de depression?

Quel est le questionnaire de dépression?

Dépression. Questionnaire MDI (Major Depression Inventory) Ce questionnaire a été développé pour l’OMS par le psychiatre danois Per Bech. Il permet une auto-évaluation de la sévérité d’un trouble de l’humeur. Son résultat peut être interprété comme un « score » (sur une échelle de 0 à 50) et/ou d’après des critères de diagnostic (CIM et DSM).

Comment évaluer votre niveau de dépression?

Veuillez répondre aux questions qui suivent pour évaluer votre niveau de dépression. Le questionnaire PHQ-9 a été validé de façon empirique. Ce questionnaire est tout à fait confidentiel et anonyme. Au cours des deux dernières semaines, à quelle fréquence avez-vous été dérangé (e) par les problèmes suivants?

Comment envisager une dépression sévère?

D’autres démarches (psychothérapie et/ou médication) sont à envisager si les symptômes persistent. Total compris entre 25 et 29: dépression modérée. Cet état requiert en règle générale une intervention dans un délai rapproché (psychothérapie et/ou médication). Total égal ou supérieur à 30: dépression sévère.

Comment se manifeste la dépression?

La dépression se manifeste généralement sous forme d’épisodes, suivis par des phases non dépressives avec disparition partielle ou complète des symptômes. Un épisode dépressif dure en moyenne entre six mois et un an, jusqu’à la normalisation spontanée de l’humeur.

Comment se manifeste la dépression mélancolique?

Chez ces malades, l’exploration des causes physiques dure parfois longtemps avant qu’une dépression soit soupçonnée. Une autre forme de dépression, la dépression mélancolique, se manifeste par un état d’angoisse prononcé le matin ainsi que par une perte de poids, de joie de vivre, de libido et d’intérêt.

Quel est le risque de dépression chez les femmes?

30 ans, présente un caractère récidivant avec 50\% de rechute à 2 ans, 85\% sur toute la vie et le risque de chronicité est de 20\%. La dépression s’associe souvent avec d’autres troubles somatiques et psychiatriques. Les femmes et des patients d’un milieu socio-économique défavorisé semblent plus à risque.1,3