Table des matières
Comment Est-on endormi pour une coloscopie?
La coloscopie est réalisée sous anesthésie générale ou sédation (anesthésie légère). C’est pourquoi une consultation auprès d’un médecin anesthésiste est obligatoire, huit à dix jours avant l’examen.
Quel examen pour detecter un cancer colorectal?
La coloscopie est l’examen qu’on fait le plus souvent pour diagnostiquer le cancer colorectal. Lors de la coloscopie, le médecin observe l’intérieur du côlon et du rectum à l’aide d’un tube flexible muni d’une lumière et d’une lentille à une extrémité, soit un coloscope.
Comment se préparer à un coloscanner?
Il faut être strictement à jeun, sans boire, ni manger, ni fumer. Réaliser le lavement évacuateur (Normacol) 3h avant votre rendez-vous. Veuillez ramener le jour de l’examen : votre ordonnance, la liste des médicaments que vous prenez, votre résultat d’analyse de créatinémie, le produit de contraste.
Quels sont les avantages de la coloscopie virtuelle?
Avantages de la coloscopie virtuelle. La coloscopie virtuelle permet de détecter les polypes > 5 mm et de les montrer sur les vues en 3D aussi clairement (sans la couleur naturelle de la muqueuse colique) que peut le montrer la coloscopie optique.
Est-ce que la détection des polypes est proche de la coloscopie optique?
Les résultats de ces études ont montré que pour la détection des polypes ≥ 10 mm et des cancers coliques la sensibilité du coloscanner (90\%) était supérieur aux autres méthodes (Hemmocult®II, lavement baryté) et proche de celle de la coloscopie optique.
Comment bien nettoyer le côlon avant l’examen?
Elle exige toutefois une préparation soigneuse du côlon afin d’éliminer la présence de résidus fécaux que l’on pourrait éventuellement confondre avec des polypes. Le patient doit donc subir une diète spéciale quelques jours avant l’examen afin de bien nettoyer le côlon et éviter tous résidus de matières fécales.
Pourquoi le dépistage du cancer colorectal?
Le dépistage du cancer colorectal est un enjeu majeur de santé publique puisque ce cancer – le 3 e le plus fréquent – touche chaque année en France 40.000 personnes et cause 15.000 décès. Il touche pour moitié environ autant les hommes que les femmes.