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Comment soigner la maladie de Mondor?
Le traitement du syndrome de Mondor se fait par anti-inflammatoires non stéroïdiens per os (voie orale) et/ou en application locale, ainsi que par massage. La maladie est bénigne, c’est-à-dire qu’elle évolue de façon simple et sans conséquence grave vers la guérison.
Qu’est-ce que la maladie de Mondor?
La maladie de Mondor est une pathologie habituellement bénigne thrombotique veineuse superficielle sur veine saine et spontanément régressive. Moins de 400 cas sont recensés dans la littérature. Il s’agit d’une tronculite subaiguë de la paroi thoracique antérolatérale de diagnostic habituellement clinique.
Qu’est-ce qu’un bilan de thrombophilie?
Le diagnostic d’une thrombophilie nécessite un bilan sanguin afin de rechercher des facteurs congénitaux ou acquis de thrombophilie en évaluant notamment l’activité des protéines inhibitrices de la coagulation, la recherche de mutations génétiques ou la présence d’anticorps du syndrome des anti-phospholipides.
Comment se manifeste la maladie de Mondor?
En outre, la maladie de Mondor se manifeste par la perte d’élasticité des veines sous-cutanées situées au niveau de votre paroi thoracique. Cela survient à la suite d’une inflammation des vaisseaux sanguins dans cette partie du corps.
Quelle est la différence entre la maladie de Mondor et la phlébite?
La première différence entre la thrombose de Mondor et la phlébite se situe au niveau de la partie touchée. En effet, la maladie de Mondor se manifeste généralement dans la paroi thoracique tandis qu’une phlébite peut prendre racine dans la cuisse.
Quels sont les symptômes de la thrombose de Mondor?
Symptômes de la thrombose de Mondor. La thrombose de Mondor peut entraîner des symptômes tels qu’une douleur localisée (notamment au niveau de la poitrine, au niveau de la veine concernée) et la présence d’un cordon, c’est-à-dire d’une zone indurée et douloureuse perceptible au niveau du sein.
Pourquoi les immunoglobulines peuvent entrainer des maux de tête?
Les immunoglobulines peuvent entrainer des maux de tête et exceptionnellement une insuffisance rénale chez des patients présentant des facteurs de risque (surpoids, diabète, insuffisance rénale antérieure) mais il est possible de prévenir cette complication en adaptant les doses.