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Pourquoi faire un IRM pour la prostate?
L’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) prostatique permet la détection, la localisation, l’estimation du volume des foyers tumoraux et le bilan d’extension du cancer de la prostate.
Comment lire un IRM de la prostate?
La progression de la qualité de l’IRM a conduit à l’élaboration d’un score diagnostique, sur une échelle de 1 à 5 (score PI-RADS) pour déterminer la présomption de cancer (2). Les scores 1 et 2 correspondent à l’absence d’anomalie focale et sont considérés comme bénins.
Comment se déroule un IRM pour la prostate?
L’IRM de prostate se déroule de la même façon que tout autre type d’IRM. Vous serez couché sur le dos. L’antenne sera positionnée à votre contact et la table sera ensuite déplacée à l’intérieur de l’appareil d’IRM.
Quelle est la durée d’un IRM de prostate?
Après un IRM de la prostate pour localiser le cancer dans la prostate, l’HIFU permet de détruire les cellules cancéreuses et donc, le cancer, lors d’une intervention d’une durée d’1h30 à 2h30. Ce traitement est nettement plus court comparé à des sessions de rayons classiques (pouvant aller jusqu’à 2 mois) et est répétable en cas de récidive.
Est-ce que l’IRM-m est supérieur à la biopsie?
Ils ont été soumis à un test de PSA, une biopsie et une IRM-M. Cette dernière technique s’est révélée supérieure à la biopsie, avec moins d’effets secondaires. Dans une autre étude, néerlandaise cette fois, l’IRM-M a permis de diminuer de 70 \% le recours à la biopsie et de 50 \% le dépistage de cancer de la prostate indolent.
Est-ce que l’IRM permet de localiser le cancer?
Au contraire, « les examens par IRM multiparamétrique fournissent des informations sur la taille du cancer, la densité de ses cellules et ses liens avec la circulation sanguine », écrivent encore les auteurs. L’IRM permet par ailleurs de localiser le cancer, quand il faut en moyenne 12 biopsies pour le situer.
Pourquoi Pas de dépistage du cancer de la prostate?
Cancer de la prostate : trop de sur-diagnostics ! À l’heure actuelle, il n’y a pas de dépistage systématique du cancer de la prostate dans l’Hexagone (contrairement au cancer du sein). Le dépistage, individuel et volontaire, passe par le toucher rectal et le dosage du taux de PSA dans le sang.