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Quels sont les casques historiques les plus performants?
Certains casques historiques ont parfois même été plus performants « . Dans une certaine limite, le casque qui équipait les troupes françaises était le plus efficace : selon ces tests, il a limité la pression au sommet du crâne par rapport aux autres casques, même le plus moderne.
Quel est le nom allemand de ce casque?
Une protection en cuir bouillie inspirée d’un modèle gothique, recouverte de verni noir et agrémenté d’une pointe de métal. Pour les Français, ce casque est l’un des symboles du militarisme allemand. Le nom allemand de ce casque est » Pickelhaube « .
Quel événement a marqué la Seconde Guerre mondiale?
Le 7 décembre 1941, l’attaque de l’armée japonaise sur la base navale américaine de Pearl Harbor a marqué la seconde guerre mondiale. Retour sur les événements.
Comment protéger les militaires de la Première Guerre mondiale?
Les casques utilisés lors de la Première guerre mondiale étaient particulièrement efficaces pour protéger les militaires contre les ondes de choc dues aux explosions. De quoi rivaliser avec les casques contemporains selon une nouvelle étude. Un casque français de la Première Guerre mondiale se trouve sous un « tube à choc ».
Comment contrer les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale?
Pour contrer les Allemands lors de la seconde guerre mondiale, Russes et Américains ont rapidement fait évoluer leurs chars d’assaut. Ils ont ainsi inventé de nouveaux modèles. Dès 1940, les Russes mettent en service le T-34. Mobile, équipé d’un blindage efficace, le célèbre char est doté d’une grande puissance de feu.
Pourquoi nous célébrons la fin de la Seconde Guerre mondiale?
C’est pourquoi, pour commémorer le 75e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale cette année (la guerre a pris fin en Europe le 8 mai), nous célébrons huit femmes dont la bravoure et les réalisations les distinguent des millions d’autres qui ont fait preuve de courage dans ce conflit dévastateur.
Comment les casques ont été testés?
» Les casques ont été testés avec des ondes de choc de force variable, correspondant chacune à un type différent d’obus d’artillerie allemande explosant à une distance de un à cinq mètres « , explique l’Université Duke dans un communiqué. Les chercheurs ont ensuite pu traduire les données recueillies en terme de risque de lésions cérébrales.