Quels sont les effets secondaires du psoriasis?
Les effets indésirables les plus fréquents sont des malaises, des troubles digestifs, une baisse des globules blancs et une inflammation de la bouche. La prise de d’acide folique après l’administration du méthotrexate permet de réduire la fréquence de certains de ces effets indésirables.
Comment agit le Cosentyx?
Le corps des personnes atteintes du psoriasis en plaques, de la polyarthrite psoriasique ou de la spondylarthrite ankylosante, produit une quantité excessive d’une protéine appelée interleukine-17A (IL-17A). Le sécukinumab reconnaît cette protéine et bloque son action, ce qui réduit les symptômes de ces conditions.
Comment injecter Cosentyx?
Chaque dose de 300 mg est administrée en deux injections sous-cutanées de 150 mg. Pour les autres patients, la dose recommandée est de 150 mg en injection sous-cutanée, administrée aux Semaines 0, 1, 2, 3 et 4 en traitement d’initiation, puis tous les mois en traitement d’entretien.
Quelle est la tolérance de Cosentyx dans le traitement du rhumatisme psoriasique?
L’efficacité et la tolérance de COSENTYX dans le traitement du rhumatisme psoriasique ont été évaluées dans deux études de phase III versus placebo, ayant démontré la supériorité du sécukinumab sur de nombreux paramètres cliniques (Cf. Avis de la Commission de la transparence du 22 juin 2016 ).
Quels sont les effets secondaires de Cosentyx?
Les effets secondaires les plus courants de Cosentyx peuvent inclure : 1 diarrhée 2 infections respiratoires mineures, comme le rhume 3 casse-tête 4 éruption cutanée
Comment traiter le psoriasis en plaques?
On l’utilise pour traiter les formes modérées à importantes du psoriasis en plaques chez les adultes, et les formes importantes du psoriasis en plaques chez les adolescents de 12 ans et plus qui pèsent au moins 50 kg, dont les spécialistes ont établi qu’un traitement systémique ou une photothérapie pourrait leur être bénéfique.
Est-ce que le psoriasis est chronique?
Le psoriasis est une maladie chronique de la peau dont l’évolution est impossible à prévoir. Si ses poussées sont parfois attribuées au stress, certains médicaments peuvent aussi déclencher, aggraver ou rendre le patient résistant aux traitements, comme le rappelle Prescrire dans son numéro du mois d’octobre.