Quand les prêtres pouvaient se marier?
Au XI e siècle, le mariage des prêtres est encore la norme jusqu’à la réforme grégorienne. Le deuxième concile du Latran prend un décret en 1132 interdisant d’ordonner des hommes mariés.
Qui a aboli le mariage des prêtres?
En 1139, le concile de Latran II interdit le mariage des prêtres. Une décision aujourd’hui encore controversée, et qui ne fut pas seulement adoptée pour des motifs spirituels…
Quel est le pape qui a décidé du célibat des prêtres?
Célibat des prêtres: le cri d’alarme de Benoît XVI. EXCLUSIF – Le pape émérite prend fermement position contre l’ordination sacerdotale d’hommes mariés, dans un livre cosigné avec le cardinal Sarah, dont Le Figaro dévoile les passages clés.
Pourquoi les prêtres ne se marient pas?
Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance ». Beaucoup ne comprennent pas pourquoi les prêtres ne se marient pas. Mais c’est pour cela : parce qu’en célébrant l’eucharistie, ils tiennent la place du Christ-Epoux ! Et comme lui, leur famille est l’Église. Et avec lui, ils tentent de lui donner leur vie.
Est-ce que les prêtres latins peuvent se marier?
Il est vrai que les prêtres catholiques latins ne peuvent pas se marier, mais personne n’est obligé de devenir prêtre ! Le mariage ne leur est pas interdit en tant qu’être humain, mais en tant que prêtre. Tout catholique est libre de choisir la prêtrise dans le célibat, le mariage ou la vie solitaire, qui est aussi une forme de célibat.
Pourquoi le monde ne se marie pas?
Tout le monde ne se marie pas. Jésus l’a fait remarquer : « Il y a des gens qui ne se marient pas car, de naissance, ils en sont incapables ; il y en a qui ne peuvent pas se marier car ils ont été mutilés par les hommes ; il y en a qui ont choisi de ne pas se marier à cause du Royaume des cieux. Celui qui peut comprendre, qu’il comprenne ! »
Quelle est la mission du prêtre?
Mais le célibat a de multiples convenances avec le sacerdoce. La mission du prêtre, est de se consacrer tout entier au service de l’humanité nouvelle que le Christ, vainqueur de la mort, fait naître par son Esprit dans le monde, et qui tire son origine, non pas « du sang, ni d’un pouvoir charnel, ni d’un vouloir d’homme, mais de Dieu » (Jn 1, 13).