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Le trouble de la personnalité antisociale est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes (6:1) et il comporte une forte composante héréditaire. La prévalence diminue avec l’âge, ce qui indique que les patients peuvent apprendre à changer leur comportement inapproprié et essayer de se construire une vie avec le temps.
Dans le cas du trouble de la personnalité antisociale, les taux de prévalence sur 12 mois estimés aux États-Unis (sur la base des critères anciens du DSM) vont d’environ 0,2 à 3,3\%. Le trouble de la personnalité antisociale est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes (6:1) et il comporte une forte composante héréditaire.
Quel est le trouble de la personnalité antisociale chez les parents?
Le trouble de la personnalité antisociale est plus fréquent chez les parents au 1er degré d’un patient qui présente le trouble que dans la population générale. Le risque de développer ce trouble est augmenté chez les enfants adoptés et biologiques dont les parents présentent la maladie.
Pourquoi l’indifférence face à la douleur des autres dans la petite enfance?
L’indifférence face à la douleur des autres au cours de la petite enfance a été reliée à des comportements antisociaux à la fin de l’adolescence. Le trouble de la personnalité antisociale est plus fréquent chez les parents au 1er degré d’un patient qui présente le trouble que dans la population générale.
Les facteurs génétiques et environnementaux (p. ex., l’ abus pendant l’enfance ) contribuent au développement d’un trouble de la personnalité antisociale. Un mécanisme possible est l’agression impulsive, liée au fonctionnement normal du transporteur de la sérotonine.
Dans le cas du trouble de la personnalité antisociale, les taux de prévalence sur 12 mois estimés aux États-Unis (basé sur d’anciens critères du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders [DSM]) vont d’environ 0,2 à 3,3\%.