Quel serait le culte des franc-maçons?
Si les franc-maçons devaient pratiquer un culte, ce serait celui de la Lumière, vue comme une source de vie éternelle vers laquelle il faut marcher, dans la confiance et l’espérance. Cela pourrait être la définition de la “foi maçonnique”.
Pourquoi les franc-maçons ne se retrouvent pas dans la maçonnique?
Contrairement à une idée reçue, les franc-maçons ne cherchent pas forcément à se retrouver en dehors de leur pratique maçonnique. Le réseautage est moins répandu qu’on ne croit. Toutefois, certains pratiquent entre eux, à l’extérieur, une poignée de main spéciale, qui consiste à exercer une pression un peu plus forte avec l’index lors du serrage.
Quels sont les signes qui permettent de reconnaître un franc-maçon?
Quels sont les signes qui permettent de savoir qu’un individu est franc-maçon? Selon la tradition, les franc-maçons se reconnaissent par des “signes, mots et attouchements”, qui font partie du rite maçonnique. Ces signes de reconnaissance peuvent varier d’une obédience à l’autre, et d’un degré maçonnique à l’autre.
Quel serait le culte de la franc-maçonnerie?
Si les franc-maçons devaient pratiquer un culte, ce serait celui de la Lumière, vue comme une source de vie éternelle vers laquelle il faut marcher, dans la confiance et l’espérance. Cela pourrait être la définition de la “foi maçonnique”. Pas d’incompatibilité entre les religions et la franc-maçonnerie.
Quelle est la connaissance des francs-maçons?
* La « Connaissance » que poursuivent les francs-maçons est symbolisée par le « G » souvent inscrit sur les sigles maçonniques : dans une étoile à cinq branches ou bien dans un compas et une équerre, les outils du maître-maçon, de l’architecte. Ce « G » désigne la « Gnose » (du grec gnôsis, connaissance), un savoir caché, réservé aux seuls initiés.
Qui est le grand maître des francs-maçons en France?
En 1728, les francs-maçons français décident de reconnaître comme « grand maître des francs-maçons en France », Philippe, Duc de Wharton (1698-1731), qui séjourne à Paris et à Lyon de 1728 à 1729, et qui avait déjà été, en 1723, grand maître de la Grande Loge de Londres.