Quelles sont les consequences du curetage?

Quelles sont les conséquences du curetage?

Physiquement, des saignements et des douleurs de type douleurs menstruelles peuvent avoir lieu dans les jours qui suivent le curetage. Et psychologiquement, il peut être important de prendre le temps. Car une fausse couche ou une IVG peuvent être vécues comme des épreuves difficiles.

Quand faire un curetage après une fausse-couche?

Quand une grossesse s’interrompt, que ce soit après une fausse-couche ou une IVG médicamenteuse, l’utérus expulse normalement la totalité de l’embryon. Quand ce n’est pas le cas, les médecins peuvent recourir au curetage.

Comment agissent ces hormones à l’utérus?

Mais ces hormones agissent également au niveau de l’utérus, entraînant un épaississement de la paroi utérine afin d’accueillir un ovule éventuellement fécondé. A la fin de cette phase, se produit l’ ovulation : le follicule se rompt à la surface de l’un des deux ovaires et libère un ovule dans la trompe de Fallope.

LIRE AUSSI:   Est-ce que le radium est radioactif?

Comment retirer l’utérus par voie vaginale?

L’utérus est retiré par voie vaginale. Cette technique est indiquée lorsque la voie vaginale exclusive risque d’être difficile. L’abord coelioscopique permet dans ces cas de faciliter l’intervention. Cet abord permet également de faciliter l’annexectomie lorsque celle-ci est envisagée.

Comment procéder à une hystérectomie?

Une hystérectomie peut être pratiquée par 3 voies d’abord principales. Le choix dépend de la taille de l’utérus, du nombre d’accouchements par les voies naturelles, des antécédents chirurgicaux (césarienne, laparotomie), de l’âge de la patiente, de l’indication de l’hystérectomie (pathologie bénigne ou maligne) et du souhait de la patiente.

Comment s’agit l’ablation de l’utérus et ses annexes?

Il s’agit de l’ablation de l’utérus et de ses annexes : trompes utérines et ovaires. L’annexectomie peut être uni ou bilatérale. Ce geste est systématiquement associé à l’hystérectomie en cas de cancer utérin. Il peut être associé lorsqu’il existe une pathologie annexielle associée (kyste de l’ovaire etc.) ou chez la femme ménopausée.